Dans les milieux spécialisés autorisés, le signe pathognomonique de l'autisme n'est plus, comme l'affirmait Kanner, " l'inaptitude des enfants à établir des relations normales avec les personnes et à réagir normalement aux situations depuis le début de la vie ", mais l'absence du regard. Le diagnostic précoce de l'autisme pourrait s'établir en repérant cette absence de rencontre du regard de l'enfant avec celui de sa mère.
L'intérêt de cette observation est qu'elle permet d'opérer un déplacement de la question telle qu'elle se pose habituellement. En effet, si on en reste à la formulation de Kanner, c'est-à-dire à l'inaptitude de l'enfant à vivre des relations normales, le pas est vite fait de chercher à découvrir une étiologie organique et à compenser son handicap supposé par des méthodes réadaptatives et éducatives. Ainsi, le constat de l'absence de langage induit l'idée d'un déficit neuromoteur. Par contre, l'absence de regard posé par l'enfant sur sa mère pose la question différemment : pourquoi un enfant qui, somme toute, a son potentiel ophtalmique préservé, ne peut croiser le regard de sa mère ?
Il m'a semblé intéressant, justement, d'aller y voir de plus près et de poser aussi mon regard sur la question en m'appuyant plus particulièrement sur l'enseignement de Jacques Lacan, notamment sur le Séminaire XI : les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse.
Regard de peintre
En couverture de ce séminaire figure le tableau de Hans Holbein le jeune (1497-1503) intitulé Les ambassadeurs. Cette huile sur bois d'environ deux mètres sur deux (exposée à la NationalGallery à Londres) nous présente deux jeunes hommes se tenant debout face à nous avec une certaine prestance. A notre gauche se tient Jean de Dinteville, noble seigneur de 29 ans. Il porte des vêtements qui sont les marques de son rang, à sa main droite il tient une dague et sur sa poitrine brille la médaille de l'ordre de St Michel. A notre droite, avec moins de prestance et d'éclat, Georges de Selve, 24 ans, son titre d'évêque l'oblige certainement à être moins démonstratif.
Tout deux sont donc représentés dans un apparat vestimentaire somptueux et le "décor" n'est pas en reste. Ces jeunes hommes appuient leur coude sur une table où sont déposés tous les objets du savoir et de la culture. Ils semblent bien qu'ils en soient les dignes représentants, nul doute qu'ils doivent en posséder les secrets et la maîtrise.
Le souci du détail dans la représentation nous ferait penser à un tableau hyper-réaliste avant l'heure, s'inscrivant dans la lignée de Jan van Eyck. Réalisme, réalité, voilà à quoi ce tableau tend à nous faire croire, l'illusion serait presque parfaite si l'auteur du tableau n'avait placé un objet énigmatique en avant-plan et sur lequel notre regard achoppe.
Tout irait bien au fond sans cet OFNI[1] qui insulte notre regard, nous dérange, brise dans son oblique érigée narquoisement cette réalité rassurante. Du coup cet objet irréel, comme si le peintre avait été victime d'une hallucination, nous interroge, nous "regarde". Nous ne savons plus au fond si c'est lui qui nous leurre ou s'il ne vient pas comme un signe nous montrer la nature trompeuse de ce qui est présenté devant nous comme la maîtrise même de la réalité.
Nous savons qu'il nous faudra nous décentrer pour saisir de quoi il s'agit. Nous aurons l'occasion d'y revenir.
Ce décentrement[2] auquel nous invite Holbein pour "voir" de plus près ce dont il s'agit dans son tableau nous indique le décentrage nécessaire qu'il nous faut opérer pour saisir le "point de vue" de l'autre. Et si en présence de la personne autiste nous opérions cette décentration : peut-être pourrions nous saisir ce que l'autiste peut justement nous révéler.
Tableau de famille
Je présenterai donc le tableau d'une famille, un père, une mère qui viennent en consultation et me présentent Charles, enfant qui fait "tâche/tache" d'objet énigmatique. A propos de cet enfant la question s'est posée pour les parents de savoir s'il ne s'agissait pas d'un handicap.
Psychogenèse ou handicap, voilà l'autiste au cœur d'un débat sensible dans lequel les psychanalystes sont d'ailleurs souvent accusés de culpabiliser les parents, la mère en l'occurrence. Si une certaine pratique de la psychanalyse a insisté sur la personnalité des mères et des pères d'enfants autistes au point de subodorer de leur part une quelconque responsabilité dans la problématique de l'enfant, il n’en reste pas moins qu’une théorie[3] en contrepoint de cette lecture de la psychanalyse affirme que, si la mère peut présenter des déséquilibres psychiques, la non-réponse de l’enfant au désir de la mère en est en partie responsable. La question dans les deux lectures serait-elle de savoir qui rendrait l’autre fou ?
Cette question de la folie se pose avec la nécessité de proposer à l’autiste une correction ou une réadaptation à la réalité dans le souci de son intégration à notre société et à ses normes.
Cette démarche suppose donc que, de la réalité, nous en sachions quelque chose, qu’elle soit unique, invariable commune à tous, point de mire sur laquelle chacun de nous aurait à s’ajuster.
De même que la présence de l’objet énigmatique dans le tableau d’Holbein nous interroge et fait enseignement, nous pouvons supposer que la présence de l’enfant autiste exerce ce même office. Comment Charles m’a-t-il enseigné ?
Histoire d’une présence et d’une rencontre
Les parents de Charles viennent me consulter après avoir connu maints échecs quant à leur recherche de solution et de guérison concernant le retard de développement de Charles. Charles a trente mois. Il ne parle pas, ne marche pas, ne tient pas la station debout, il communique peu. Les parents ont cherché jusqu’alors une réponse médicale à son problème.
Le père est un spécialiste en médecine. Il a une capacité d’observation et d’objectivation de son fils étonnante. Il le décrit dans ses comportements avec une précision et une justesse remarquable. Rien ne lui échappe concernant son fils. Charles est l’objet de toute son attention d’expert.
Objet d’attention particulière, Charles l’aura été spécifiquement pendant tout un temps. Les parents ont consulté de nombreux spécialistes et les caryotypes ont été interrogés en vain. La génétique est restée muette, l’oracle s’est tu. De spécialistes en diagnostics éliminés, les parents et Charles aboutissent chez moi sur les conseils de professionnels qui finissent par se demander s’il ne faudrait pas envisager une autre modalité de rencontre.
Charles remettait donc en question toutes les hypothèses énoncées à l’égard de son « symptôme » et laissait planer toutes les incertitudes qui se languissaient de ne pouvoir se formuler en conviction. Dans les représentations des parents, j’incarnais à nouveau cet avatar de « l’expert » pour qui Charles devait être cet objet d’investigation qui susciterait un discours docte et entier. La question des parents semblait se soutenir de l’attente d’une réponse ou de la confirmation d’une certitude : il est possible de soigner/réparer Charles, il suffit de découvrir ce qu’il a, d’en nommer la cause et d’apporter la réponse attendue.
A notre place, il s’agira d’accueillir Charles avec ses parents. D’un accueil qui suppose une présence singulière mais non pas la présence d’un spécialiste. La question de me situer comme accueillant la singularité de cet enfant se fera avec ma présence marquée d’un blanc, d’un manque, d’une absence : celle de la présence attendue et souhaitée d’un professionnel supposé spécialiste.
Si la question, qu’une certaine orthodoxie propre à l’Annafreudisme[4] par exemple suscite, celle de l’analyse possible à condition de pouvoir s’appuyer sur une partie saine du moi pour faire alliance thérapeutique - le moi faisant référence à la capacité qu’a le sujet de percevoir l’existence de ses troubles - si cette question donc ne se posait pas pour moi, une autre pouvait survenir : comment proposer à un sujet qui se situe hors discours, dans le sens où le langage n’a pas pris corps, une présence qui opère dans le champ de la parole?
Notre première rencontre, c’est à dire ma présence à Charles et à ses parents, se constitue d’un manque initial, d’une présence sur fond de manque. Je suis présence, en tant que personne qui accueille Charles, sur fond d’absence du spécialiste attendu. Prêt à prendre aussi la place d’objet énigmatique. C’est bien cette absence, ce manque, qu’il me faudra soutenir face aux sollicitations de savoir, de réponses espérées des parents. Il me semble toucher là à cette dimension explorée par les analystes, qui situe le transfert, présence de l’analyste, comme condition de l’analyse mais, simultanément, fermeture de l’inconscient. D’emblée, Freud pose la question du transfert comme ce qui interrompt la communication de l’inconscient.
Encore faut-il que de l’inconscient il y ait, c’est-à-dire qu'on ait affaire à un sujet que la parole divise et dont la position de sujet s’articule dans une dialectique propre à ce que Freud décrit dans son texte sur la "Verneinung". Pour qu’il y ait Behajung - un jugement d’attribution - il faut une Ausstossung - une expulsion hors du symbolique - dans le réel, de quelque chose dont il ne restera qu’un signe, une trace. C’est à partir de ce signe "moins", d’un manque, que les choses vont pouvoir compter dans la pulsation absence/présence. Pour le sujet autiste, la constitution de cette trace n’aurait pas eu lieu, il resterait dans un réel comme joui par l’Autre.
La pratique s’en trouve évidemment subvertie. Si, chez le névrosé, c’est à travers son discours et ce qui lui échappe de son discours, ses achoppements, que sa vérité se manifeste, chez l’autiste il s’agira de tenir compte de cette opération psychique qui n’a pas eu lieu.
Donc la question ne sera pas d’attendre qu’un transfert s’instaure, mais de soutenir une place à la fois de suppléance et d’Autre troué, creux, incomplet.
Cet impossible à vivre la décomplétude de l’Autre, c’est bien ce qui est visé dans la demande des parents, dans le sens où la question posée par l’énigme du comportement de Charles appelle une réponse qui suturerait la plaie ainsi ouverte. Cette plaie, il m’est impossible de la suturer, je suis le le témoin en présence de cette souffrance et de cette béance.
Ce que je vais donc offrir comme présence aux parents, à Charles, se constituera à partir de mon impuissance à répondre à leur demande, sur fond d’absence. Présence / absence qui permettra une certaine rencontre qui sera eutuchia ou dustuchia selon que la rencontre avec l’objet énigmatique, tel que le tableau d’Holbein le révèle , et tel qu’en sa position étrange l’autiste se place, permet la prise en compte du réel du sexe et de la mort comme ce qui nous constitue sujet barré ou « mal barré ».
J’accueille Charles, non pas comme objet d’investigation que je devrais observer, comprendre, analyser, rééduquer mais comme sujet, appelé comme tout humain à entrer dans le champ de l’Autre.
J’accueille Charles, j’accueille ses parents.
De ne pas répondre à la demande s’ouvre un champ de parole. Après avoir évoqué les problèmes de Charles, les parents disent leur propre difficulté, ce qui a posé problème pour eux depuis Charles et avant lui.
Au fil des séances, les parents témoignent que Charles évolue et manifeste sa joie de venir aux entretiens. C’est au cours de la troisième séance que la mère dira qu’elle se demande toujours si ce n’est pas de leur faute à eux, parents, si Charles est comme ça. Car le temps de grossesse n’a pas été facile pour elle, sa mère. Il semble en effet que son mari ait développé un délire de jalousie qui le faisait douter de sa paternité au point qu’il passa à l’acte sur sa femme en essayant de l’étrangler. A la suite de cela, Mme B. eut plusieurs fois envie de se planter un couteau dans le ventre avec l’intention de tuer dans l’œuf le « fruit d’un monstre».
Charles, à l’évocation de ces paroles, pleure. Les entretiens permettent aux parents d’exprimer leur culpabilité liée à ce temps difficile de la grossesse et si l’ autisme de leur enfant ne serait pas une conséquence de leurs relations perturbées.
Lors d’une autre séance, la mère dira qu’elle n’a pas pu donner le sein à Charles malgré l’insistance des sages-femmes qui lui assuraient « que ça devrait lui être facile vu sa formation dans le domaine » et que « ça ferait le plus grand bien à l’enfant ». Mais Charles était alors pour elle comme un étranger, elle n’arrivait pas à le vivre comme son enfant.
Charles : comme « l’être-ange » des parents
Charles se constituait donc, dans le discours des parents comme « étrange ». Etranger à la paternité de Monsieur B., étranger à la mère. Et d’un « être-ange » il sera aussi question dans la suite des entretiens.
La question de la paternité supposa pour le père « un Autre Père » engendreur de Charles. Charles se constituant dans son imaginaire comme enfant messianique sacrifié par un Père céleste pour la propre rédemption des parents. En effet, son « symptôme » aurait comme fonction de leur faire gagner un paradis de par les souffrances qu’ils endurent à avoir un fils comme lui. Vivre avec Charles se présente pour les parents comme une expiation de leurs fautes.
Ce fut aussi l’occasion pour le père de dire que la question qui l’agitait jusqu’à ses dix-huit ans était de savoir qui était son père. Sa mère en avait gardé le secret jusque là, le lui révélant à sa majorité. Jusqu’alors, il pensait son père mort et pensait être le fruit de la faute et de la honte de sa mère qui avait commis le péché de chair, qui plus est hors mariage. Monsieur B. se compare alors à Charles, ayant été comme lui un enfant enfermé, muré dans "un silence sans nom", et n’ayant pas parlé jusqu’à l’âge de quatre ans. Ainsi, du doute sur la question de qui était son père, il est passé au doute sur sa propre paternité. C’est à l’évocation de cette souffrance que nous voyons Charles s’approcher de son père et lui caresser la joue. Peut-être comme pour lui signifier qu’il l’adopte ?
Parlant de ce sentiment de n’être rien et de naître de rien, de cette culpabilité d’être le fruit du pêché, Monsieur B. dira que le choix du prénom de Charles était lié au grand homme que fut De Gaulle. Madame B. embrayera à la suite en disant que c’est elle qui a choisi les deux autres prénoms : Matthieu comme l’évangéliste et Gabriel comme l’ange messager qui annonça à Marie sa conception divine. Les mots des parents révèle un enfant imaginaire comme un « être ange asexué ».
Au fil des entretiens se dessine le dessein des parents quant au destin de Charles. Enfant imaginaire qui pare à toutes les blessures et à tous les manques, enfant réel dans la nudité la plus extrême qu’il faut orthopédier, appareiller, restaurer, pure image qui n’a pas pu s’incarner, sujet absent de son corps, « verbe pas en-corps ».
Charles, fils d’Un Père, fils d’une mère et non d’une femme désirante. Ange lui-même que la sexualité n’atteint pas, ni le désir. Rédempteur, Sauveur, il est Roi de la famille et trône comme « saint homme » à défaut de synthome. Cette qualité d’enfant-roi sera évoquée avec une certaine jouissance par les deux parents, montrant ainsi la place spécifique qu’il occupe en incarnant tout leur amour idolâtre pour lui. Celui qui retient toute leur attention et tous les regards.
Du regard il s’agira aussi. De celui que les parents portent sur lui en tant qu’énigme de cet enfant réel déchu de tout ce qui fait que l’infans qui n’accède pas à la parole fait resurgir le mythe d’un enfant-roi « hors temps, hors génération ». Dans le regard des parents, il semble que Charles prenne la place de l’objet a ou plus précisément il est « la subjectivation du petit a comme pur réel [5]» De l’en extraire permettrait aux parents de se poser la question de leur manque. Charles confondu dans le tableau avec les objets de la réalité se confond lui-même dans l’image et ne peut « ex-sister » en tant que sujet. Comme voué à n’être qu’une tache au point tychique d’une rencontre d’un réel impossible à symboliser, se présentant donc comme trauma. Il fait tache, comme quelque chose qui insiste et tourne en boucle, comme cet objet que l’enfant autiste fait tournoyer sous son regard et dont il ne se « dé-tache » pas. Il fait remplissage et ne permet pas au sujet de se repérer comme différent du tableau.
Si le tableau d’Holbein nous donne à voir « quelque chose qui n’est rien d’autre que le sujet comme néantisé sous une forme qui est à proprement parler, l’incarnation imagée du moins-phi de la castration…[6] », Charles aurait-il tâche d’effacer la tache, c’est-à-dire d’ôter la question même de la castration en faisant dans le tableau de famille office de leurre ? Comme si, pour en revenir au tableau d’Holbein, il suffisait d’ôter la présence de l’objet énigmatique pour que la question du sujet dans le tableau et la question sur la réalité et le réel soient éradiquées.
Le point de vue des parents
Charles est donc en place de Rédempteur omniprésent et omnipotent. De cela Madame B. parlera : « même si je travaille il est toujours là, il occupe mes pensées tout le temps ». Le regard que portent les parents sur Charles ne s’adresse pas à l’enfant réel, mais à l’enfant mythique, étrange.
Ses parents l’enferment dans leur savoir sur lui, comme le feront les spécialistes. Le père sait ce qu’il faut faire et s’occupe de lui, le soigne, cherche à le réparer. Charles occupe la place qui comble le manque de ses parents, objet fétichisé. A être toujours sous leur regard, il vient à la place de l’ouverture obtenue par l’extraction de l’objet a. Du coup, on ne le voit pas comme sujet. Il se tient à cette place où le fantasme devrait prendre la sienne. D’ailleurs chez les parents, point de fantasme ni de désir énoncé.
Dans l’absence du regard de cet enfant autiste, ce que l’on voit finalement, c’est ce regard omniprésent des parents sur lui comme objet qui pare à toute question du sujet : il faut le guérir, le rendre normal. Les parents viennent voir un spécialiste, ma tâche sera de m’extraire de ce champ de « ça voir », de changer d’angle, de déplacer la rencontre vers un autre point de vue où le sujet, comme l’objet anamorphique, pourra apparaître : énigmatique.
Charles, au dire des parents, manifestait donc son plaisir à venir aux séances. On pouvait remarquer qu’il évoluait, aussi. Mais ces rencontres dépossédaient le père d’un savoir, car nous n’étions en fait pour rien dans l’évolution de Charles. Ceci amenait le père à se poser la question de « qu’est-ce qu’un père ? » et de cela, il n’en savait rien. Il reconnaissait qu’il ne pouvait être père avec Charles que sur le modèle d’une mère, la sienne. Cette question est restée sans suite. Monsieur B. m’informera de son départ pour l'Angleterre avec son fils pour que soient prodigués à Charles des soins en caisson hyperbare avec apport vitaminique intense. La question était close, leur point de vue était l’angle-taire du sujet.
Arrêt sur image donc. Il ne reste plus que cet objet énigmatique qui me confronte à la dimension de mon travail et à mon éthique, castration d’un désir d’aller plus loin, respect de la décision des parents qui n’ont certainement pas d'alternative. Espérant simplement que cette rencontre ait fait brèche, comme un point de repère pour chacun.
[1] Objet Flottant Non Identifié [2] En se décentrant l’anamorphose révèle ce qu’elle cachait [3] Méthode TEACH [4] cf notamment : Techniques de psychanalyse de l’enfant - conversations avec Anna Freud (PRIVAT) [5] Jacques Lacan, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse [6] Jacques Lacan, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, page 102 (Collection Points-essais).
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